Thèmes

belle coeur moi jeune coeurs vie monde homme histoire enfants france sourire dieu fille nuit femmes mort jardin voiture horreur bébé

Rechercher
Derniers commentaires Articles les plus lus

· LEO DROUYN ET LE PERIGORD!
· EQUIPE 1° DU CLUB ATHLETIQUE PERIGOURDIN SAISON 1922/1923!
· EQUIPE 1° DU CLUB ATHLETIQUE PERIGOURDIN SAISON:1924/1925!
· LA FÊTE DES 110 ANS DU RUGBY PERIGOURDIN!
· EQUIPE 1° DU CLUB ATHLETIQUE PERIGOURDIN SAISON:2010/2011!

· EQUIPE 1° DU CLUB ATHLETIQUE PERIGOURDIN SAISON 1921/1922
· EQUIPE 1° DU CLUB ATHLETIQUE PERIGOURDIN SAISON:1923/1924!
· EQUIPE 1° DU CLUB ATHLETIQUE PERIGOURDIN SAISON: 2004/2005!
· EQUIPE 1° DU CLUB ATHLETIQUE PERIGOURDIN SAISON: 2008/2009!
· EQUIPE 1° DU CLUB ATHLETIQUE PERIGOURDIN SAISON:1953/1954
· EQUIPE 1° DU CLUB ATHLETIQUE PERIGOURDIN SAISON: 2001/2002!
· LES BLEUETS DU LYCEE NATIONAL DE PERIGUEUX!
· EQUIPE 1° DU CLUB ATHLETIQUE PERIGOURDIN SAISON 1908/1909
· EQUIPE 1° DU CLUB ATHLETIQUE PERIGOURDIN SAISON:1907/1908
· EQUIPE 1° DU CLUB ATHLETIQUE PERIGOURDIN SAISON:1925/1926!

Voir plus 

Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "leperigord" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Statistiques

Date de création : 18.05.2011
Dernière mise à jour : 23.07.2012
107 articles


CE 10 JUIN 1944 A ORADOUR SUR GLANE!

Publié le 23/07/2012 à 07:34 par leperigord Tags : coeur moi jeune coeurs vie monde homme histoire enfants france sourire dieu fille nuit femmes mort jardin voiture horreur bébé
CE 10 JUIN 1944 A ORADOUR SUR GLANE!

http://goo.gl/LymVx    LE DEROULEMENT DE CETTE TERRIBLE JOURNEE: !Il était environ quatorze heures.... Dans la tiède somnolence de l'après-déjeuner, ce jour de printemps paisible, Oradour paressait, avant de se remettre aux occupations habituelles. Aucun préssentiment ne troublait sa quiétude. Les enfants venaient de rentrer à l'école, la rue était calme; quand un moteur y passa dans une pétarade bleuâtre, quelqu'un, peut-être, regardant à la fenêtre, dit simplement: "tiens, un Allemand!" Ce n'était pas le premier. D'autres suivirent. Une voiture blindée, deux... cinq...six; un camoin... trois camions.. dix camions... qui stationnèrent en différents points du pays. Cette fois c'était beaucoup, plus que d'habitude. Et la population regarda, remarqua la tenue de guerre des soldats: casques, bottes, uniformes camouflés de vert et de brun... Qu'allait-il arriver? On n'était pas inquiets. Il ne s'était jamais rien passé à Oradour; point de maquis, aucune histoire entre l'habitant et l'occupant - qu'on ne voyait,  d'ailleurs, que de loin en loin. Il y eut bientôt du monde sur les pas de portes, observant avec plus de curiosité que d'angoisse le va-et-vient des hommes. Très peu de personnes songèrent à s'enfuir, d'ailleurs le village avait été cerné aussitôt et par des voitures et par des cordons de sentinelles. Le rassemblement de la population: Cependant voila que résonne le tambour de la ville: rassemblement général au champ de foire. Au début on y va sans hâte, mais les patrouilles arrivent, pénètrent partout, tirent celui-ci, poussent celui-là: "Allons, allons, Schnell!"Hommes, femmes, enfants, vieillards, aucune exception... Les petits écoliers sont conduits par rangs; ils ont obéi, tous, sauf un;et celui-là - un petit lorrain réfugié qui "les" connaissait et se sauva dans les jardins - cdelui-là fut le seul rescapé des 247 enfants des écoles d'Oradour. Voici donc rassemblée sur le champ de Foire toute la population. Un bruit circule: c'est pour vérifier les cartes d'identité. Certains trouvent cela bizarre; la plupart, s'ils s'inquiètent pourtant ne soupçonnent pas encore qu'un drame va se jouer et qu'ils en seront tous les victimes. Le premier acte du drame:  Déjà, avec la brutalité prussienne, débute le premier acte de ce drame: le tri de la foule; d'un côté les femmes et les enfants, de l'autre les hommes. Dans chaque coeur, cette fois, naît et grandit le doute, la crainte: "Que vat-on faire de nous?" Et peut-être les femmes furent-elles soulagées de se voir diriger vers l'église avec  tous les enfants: l'église, c'est la maison de dieu et de la paix:  que pourrait-il leur arriver de funeste entre les murs du sanctuaire? Elles s'inquiètent surtout pour leurs maris, leurs fils, leurs pères. Des commandements éclatent dans le silence: l'officier allemend réclame des otages, avant de faire perquisitionner dans leurs maisons. Le maire, le docteur Paul Desourteaux, s'avance aussitôt, offrant avec lui ses quatre fils. L'Allemand n'insiste pas sur cette question d'otages: cela faisait partie de la mise en scène, et voilà tout. Une heure se passe. Ordres et contre-ordres se succèdent. Alentour, la vie continue à son rythme habituel, qui se douterait, à quelques kilomètres, de ce qui se passe à Oradour? Des cylictes, - cinq jeunes gens et 1 jeune fille - traversant le bourg par malchance, furent aussitôt saisis et subirent le sort des autres; qui donc porrait donner l'alarme? De tous ceux qui entrèrent à Oradour, par ce clair après-midi de juin, pas un ne ressortit vivant. Une heure donc se passe. Et puis les S.S. divisent en plusieurs sections tous ces hommes que l'angoisse a, finalement rendus silencieux; on les conduit respectivement dans trois granges, deux garages, un chai et un hangar; et, là, le supplice va commencer. De l'église où elles sont toujours enfermées, les femmes entendront le claquement des mitrailleuses; elles devineront: "ils tuent nos hommes!"  Elles ne devineront pas tout; elles ne verront pas l'horreur de ce massacre: les armes automatiques fauchant les rangées d'hommes alignés les uns derrière les autres, la paille entassée sur ces corps sanglants - et qui, un grand nombre, sont encore vivants - et le feu allumé là-dedans et qui s'élève pétillant, joyeux, torturant ces êtres à l'agonie, rendant impossible la fuite, ajoutant son ultime horreur à toutes les horreurs précédentes. Echappés de l'enfer: De cet enfer, pourtant, des hommes sortirent. Au prix de quels efforts, de quelles ruses, ils le raconteront dans des souvenirs poignants; le petit nombre de ces rescapés montre la hardiesse de leur entreprise, et leurchance - qu'on peut qualifier de miraculeuse. Il s'agit de MM. Borie, Broussaudier, Darthout, Herbas et Roby. Tous suivirent le même procédé: se jeter à terre dès la première slave de mitrailleuse et faire le mort; se dégager ensuite, prudemment de leurs couvertures de cadavres et gagner un coin dans la grange - un clapier, entre autres - attendre là, des heures, alors que l'incendie court tout autour; et puis, quand les flammes arrivent, se sauver encore, en se dissimulant entre deux murs, et gagner la campagne avec des ruses infinies; rester, enfin, tapis dans des broussailles jusqu'à ce que la pleine nuit, le départ des sentinelles, permettent la fuite. Quelques habitants d'Oradour, qui ne s'étaient pas rendus au rassemblement, purent se sauver sans même avoir été aperçus des Allemands; ils évitèrent ainsi l'atroce fusillade: ce sont MM Belivier, Brissaud, Cremoux, Hubert Desourteaux, Dourtre, Auzanet, Litaud, Armand Senon et quelques autres personnes. Mais beaucoup d'autres furent abattus dans leurs maisons par les S.S. qui fouillaient le bourg. Enfin deux groupes, l'un de cinq personnes, l'autre de trois, s'enfuirent dès l'arrivée des Allemands dans le pays, et parmi ceux-là le petit écolier lorrain. Leurs témoignages à tous concordent pour décrire la rapidité et la sauvagerie de l'attaque, l'horreur du martyre qu'ils ont véçu. On reste confondu devant un tel raffinement de cruauté. Et que dire alors de ce qui se passa dans l'église? Quel nom donner au supplice infligé à ces êtres sans défense, et parfaitement innocents?  LE DRAME DE L'EGLISE :  Après de longues heures d'angoisse, dans l'incertitude du sort de ceux qu'elles ont laissés sur le Champ de Foire - et les rafales de mitrailleuses entendues laissent tout présager - voilà que les femmes vient s'ouvrir la porte de l'église. Enfin! Est-ce la liberté? Déjà s'ébauche le mouvement de sortie, sur le visage des petits enfants un timide sourire se dessine... Mais les deux Allemands qui sont entrés referment la porte; ils vont déposer près de la table de communion une caisse volumineuse d'où dépassent des cordons; à ces cordons ils mettent le feu, puis sortent en refermant la porte derrière eux. Presque aussitôt une explosion se produit; une fumée âcre, suffocante se dégage. Quel affolement alors!  "Nous allons mourir! Nous allons mourir asphyxiés, brûlés!" Les enfants se jettent sur leur mère; des cris, des supplications jaillissent, bientôt étouffés par la fumée.  Dans une vision infernale, les malheureuses victimes fuient en tous sens, se heurtant aux issues fermées, s'aggrippant aux murs: par où s'échapper? Sous la pression de cette masse hurlante, aux forces décuplées par la terreur, la porte de la sacristie cède; le salut, peut-être? Non. Les tortionnaires ont songé à tout; ils se sont enbusqués à l'extérieur et, par les fenêtres, tirent de toutes leurs armes. Quel carnage! Femmes, enfants s'écroulent les uns sur les autres; aucun refuge! Aucun recoin n'est épagné. Par quel miracle une femme réussit-elle à se glisser, bravant la mort qui crache de partout, jusque derrière l'autel? Là, un escabeau qui sert à allumer les cierges; au dessus, un vitrail ouvert... Le salut! Péniblement la femme se hisse jusqu'à l'ouverture et, quelques secondes, boit avidement le soleil et l'air pur. Un saut de trois mètres. Elle se redresse. Elle va fuir. Mais des cris retiennent son mouvement; elle lève la tête: une autre femme a suivi le même chemin qu'elle, une jeune mère, qui vient de jeter pricipitamment son bébé par le vitrail: "Sauvez mon petit, prenez-le." L'enfant s'est écrasé sur le sol, tandis que sa pauvre maman va sauter à son tour pour courir vers le jardin du presbytère, tout proche, où les deux femmes espèrent se dissimuler. Trop tard! Leur fuite a été aperçue; tout autour d'elles les balles sifflent, crépitent, frappée à mort la jeune mère s'écroule, et son petit enfant expire à ses côtés. Il n'y a plus maintenant, qu'une rescapée, blessée grièvement, et qui s'est affalée un peu plus loin, entre des rames de petits pois; les jeunes feuillages recouvrent son corps exténué; à demie-consciente elle reste là, des heures et des heures... Dans l'église la tragédie touche à sa fin; les Allemands ont entr'ouvert les portes, ils tirent, au hasard, dans la fumée, ils tirent sans relâche, sans répit, jusqu'à l'épuisement de leurs munitions. Et puis ils s'en vont. Un grand silence... Mortes ou agonisantes, les victimes affolées de tout à l'heure?  De combien de cadavres doit être jonché le sol de cette nef, ce matin, encore si nette et parfumée d'encens? Il faut faire disparaître ces témoins de la civilitation nazie: les soldats reviennent; entasser pêle-mêle les bancs et les chaises en un monstrueux bûcher, y mettre le feu, tout cela ne demande qu'un instant. Dans le ciel clair de cette fin d'après-midi, s'élève une immense colonne de fumée et de flammes: l'église d'Oradour brûle... CEUX QUI N'ETAIENT PAS LA... Vers 7 heures du soir, lorque le tramway qui vient de Limoges arriva au pont de la Glane, près de Puy-Gaillard, il fut soudainement arrêté par les S.S. Les voyayeurs terrorisés furent divisés en deux groupes: les habitants d'Oradour, et les autres; pour ceux-ci on leur donne l'ordre de retourner à Limoges; pour ceux-là, une vingtaine environ, on les aligne devant une palissade, une mitrailleuse braquée sur eux. Ils attendent la mort. Ils l'attendirent trois heures, au milieu des plaisanteries des Allemands véritablement ivres de feu et de sang. Quand au bout de ce temps on leur dit qu'ils sont libres, ils n'en peuvent croire leur yeux; hébétés, ils  s'en vont demandre asile dans les hameaux environnants, car il leur est interdit de rentrer à Oradour. Que s'est-il passé au village qu'ils ont quitté le matin? Les flammes tourbillonnent dans la nuit commençante: l'appréhention, l'horreur, étreignent toutes les poitrines; Oradour brûle; que sont devenus les habitants? Hélas!...  APRES LE DRAME: Toute la nuit les Allemands ont fait la bombance, ripaillé, chanté... Le pays était riche, il y avait de bonnes caves dans de nombreuses maisons; au matin seulement, après avoir incendié deux maisons encore debout - théâtre de leurs réjouissances probablement - les assassins quitèrent les lieux de leur crime.  D'Oradour il ne restait plus rien... Des pans de mur noircis, des tas de pierrailles, dans un garage des châssis de voitures, tordus, déchiquetés, et le squelette décharné de l'église. Le silence est enfin tombé sur la cité morte, sur ceux qui, enfouis sous les bûchers consumés, dorment leur sommeil de martyrs. SPECTACLE D'HORREUR:   Que dire de l'affreux spectacle qui attendait les malheureux revenus à Oradour dès les premières heures du lendemain, furtivement, en se cachant, dans l'espoir de retrouver - vivant, peut-être? - un être cher! Un à un les charniers sont découverts; les désespoirs succèdent aux désespoirs; ceux qui, les premiersd, pénètrent dans l'église, reculent, saisis d'horreur. Quelle folie que de s'être imaginé retrouver un corps, un seul, vivant, dans le tas de ces cendres humaines encore chaudes! Un pauvre homme reconnaît sa femme et l'une de ses parentes, serrées l'une contre l'autre; il s'élance, saisit cette épaule qui garde encore l'apparence de la vie, et, sous sa main, s'écroule une pluie de poussière comme s'évanouirait un mirage. Dans le confessionnal demeuré intact deux petits garçons, la main dans la main, sont là, debout; le feu les a épargnés, mais les balles allemandes se sont acharnées sur eux, et leurs cuisses potelées ne sont plus qu'une chair sanguinolante. Par un de ces caprices du sort, habituels aux cataclysmes, certaines parties de cette église en ruines restent semblables à ce qu'elles furent avant le drame, comme, par exemple, les statues de N-D. de Lourdes et de Ste Bernadette, comme aussi l'autel de St Joseph; celui de Ste Anne, par contre, n'existe plus; la sacristie s'est effondrée dans la cave avec son chargement de cadavres; du clocher brûlé la cloche s'est écroulée et son métal fondu a laissé sur la pierre de larges traînées.  UNE FAIBLE VOIX:  Tout à leur macabre besogne, les survivants - qui ne pourront pas même être des sauveteurs - n'entendent pas une faible voix qui, d'un jardin peu éloigné, appelle; seule, les fera tressaillir cette clameur: "Les revoilà!" C'est un sauve-qui-peut affolé devant cette nouvelle offensive de l'ennemi; ceux qui sont revenus savent quel serait leur sort si l'Allemand les trouvait là... Pourtant, dans l'après-midi de ce dimanche orageux, lourd au ciel comme dans les coeurs, d'autres ombres vivantes viennent encore se glisser parmi les ombres mortes; ne faut-il pas essayer de sauver, au moins, quelques cadavres? Et c'est ainsi qu'on découvrit, presque agonisante, épuisée de souffrance sous son abri de feuillages, l'unique rescapée de l'église, Mme Rouffanche, dont les appels, le matin, n'avaient pas été entendus. Sur son lit d'hôpital, cette femme de 46 ans qui perdit dans le massacre d'Oradour son mari, son fils, ses deux filles et son petit-fils, racontera - récit combien émouvant dans sa sobriété - les heures d'agonie que vécut cette population disparue dans un supplice sans nom.   LES RECHERCHES: Quelques jours plus tard, les habitants de la région furent enfin autorisés "officiellement"(!) à rechercher les corps et à les inhumer. Recherches combien difficiles, les Allemands, revenus deux jours après le massacre pour tenter d'en faire disparaître la trace, ayant jeté pêle-mêle tous les débris humains - dont certains eussent été facilement reconnaissables - dans diverses fosses hâtivement creusées en des points quelconque du pays.  Des équipes de sauveteurs, dont on ne saura trop louer le dévouement et le savoir-faire, mirent à jour un répugnant mélage de chairs carbonisées, d'ossements et de ferrailles... Bien peu de corps purent être identifiés. Chaque soir, avant de descendre dans une fosse spéciale du cimetière les débris et cendres retrouvés au cours des travaux de la journée, une absoute fut donnée sur ces restes informes, spectacle déchirant, empreint, pourtant, d'un réconfortant esprit de Foi. POURQUOI CE MASSACRE?: Les Allemands ont donné des  prétextes, - leur abondance même est une preuve de leur inexactitude. On a dit que ce n'était pas Oradour-sur-Glane, mais Oradour-sur-Vayres, important centre de maquis, qui avait été visé et que le détachement allemand s'était trompé.  On a dit aussi que des armes auraient été aperçues dans un garage d'Oradour par des S.S. qui auraient décidé alors de revenir en force pour anéantir le bourg. On a dit encore: qu'une rixe aurait éclaté entre Allemands et réfractaires et que deux Allemands auraient été tués; que des patriotes en embuscade auraient tiré sur la colonne de S.S. à son arrivée au pays; enfin, qu'une voiture allemande de tourisme aurait été attaquée, les jours précédents, à quelques kilomètres d'Oradour et deux officiers tués... En fait on ne sait rien de précis sur ce qui provoqua le martyre d'Oradour. Des Allemands se sont vantés d'avoir accompli une expédition punitive dans un village à 20 Km de Limoges; il s'agissait bien, évidemment, d'Oradour-sur-Glane... Ont-ils voulu faire un exemple pour terroriser les habitants de cette contrée qui ne leur étaient pas favorables? On ne sait pas... Quoi qu'il en soit, aucun mobile ne pourrait excuser l'horreur d'un tel massacre, et il semble bien que ce mobile même n'existe pas. Les tortionnaires de toute une population laborieuse et innocente se sont mis à jamais au ban de l'humanité.  LES JOURS, LES MOIS, LES ANNEES ONT PASSE SUR LE DRAME D'ORADOUR; DANS LES COEURS DES FRANCAIS IL DOIT DEMEURER PRESENT, COMME L'EXEMPLE LE PLUS COMPLET DE CE QUE FUT LA CRUAUTE NAZIE. QUE LA FRANCE DE DEMAIN, GRANDIE PAR L'EPREUVE, PURIFIEE PAR LE SACRIFICE DE TANT DE CES ENFANTS, PEUT-ETRE LES MEILLEURS, N OUBLIE PAS LES HUMBLES ET INNOCENTES VICTIMES DE LA CAMPAGNE LIMOUSINE QUI PAYERENT DANS LES SUPPLICES ET LES FLAMMES LEUR SEUL CRIME: ETRE FRANCAIS!    SOUVENONS-NOUS!

Commentaires (1)

angelilie le 27/04/2017
beau blog. mon blog "voyage onirique" à visiter ici : mondefantasia.over-blog.com


Ecrire un commentaire